Collection Étrange Phénomène. L’Île Maudite (2/2)

Où suis-je tombée, je me préparais à épouser le comte du Hautbois faisant de moi la comtesse du même nom.
Lorsque je me suis réveillée sur un lit seul objet dans une sorte de case africaine, j’ai vu à la porte une femme.
Rapidement les éléments qu’elle m’apporte me montrent une situation insolite.
Une sorte d’île entourée de la mer d’un bleu pur me fait penser que je suis dans une île du genre caraïbe.
Toutes les deux somment nues moi qui suis assez pudique ayant été élevé dans les meilleurs instituts pour jeunes filles.
Nous faisons partie de la jeunesse surtout nous les filles qui sont amenées à faire de parfaites épouses pour ces messieurs dirigeant notre pays.
Cinquante cases, cinquante filles qui chaque soir se rapprochent d’un point central où une voix venue de nulle part donne des numéros les filles montant dans une sorte de navette.
Nous parlons nos langues comprises par les autres filles arrivant du monde entier par je ne sais quel système.
C’est numéro je découvre que le numéro 13 a été tatoué sur ma cuisse.

Nous nous souvenons de bien des choses mais nos cerveaux n’ont pas retenu nos noms.
1 comme celle que j’ai vue prendre la navette et qui semblait m’avoir accueilli venant de Lituanie et 50 l’américaine revenue de l’endroit où la navette l’a conduit.
Rapidement je comprends que je ne me sauverais pas de cette île que j’appellerais « Maudite ».

13, je monte enfin dans cette navette pour voir la pauvre numéro 3 assise devant moi passer de vie à trépas, il semblerait qu’elle ait trop parlé.
De qui ou de quoi je l’ignore.
Tous à bord, le mouvement de la navette me montre que je pars sur mon nouveau destin fermement décidé à fermer ma grande bouche.
Comme numéro 1 la lituanienne me l’a dit, le bruit se fait plus sourd.
Une idée me vient, nous sommes rentrées sous la montagne.
On s’arrête.

- Descendez, les nouvelles suivez celles qui sont déjà venues.



Je suis le troupeau, deux blacks, une Indienne ou fille de pays de ces régions et le reste des blanches comme moi.

Un couloir nous fait entrer dans une salle ou 10 tables placées en arc de cercle se trouvent.
Là encore des numéros j’ai compris que ces la mienne quand je vois mon numéro inscrit dessus.

- Numéro 20 faite voire comment vous placez à vos congénères.

La jeune black ayant une poitrine fort appétissante, deviendrais-je lesbienne pose ses fesses se redressent et se placent à quatre pattes.
En tête de table un trou, elle y rentre la tête, j’ignore ce qu’il y a derrière mais nous nous ne la voyons plus.
De chaque côté deux poignées sortent et elle les prend en main.

- Allez-y mesdames, faite comme numéro 20.

Je me mets en place.

- Numéro 13, les jambes un peu plus écartées.

Ma tête passée, je suis dans une sorte de bulle, mais là encore sortie de nulle part je comprends que c’est moi qui suis visée.
J’écarte mes jambes et je saisis les poignées.
Avant que je n’aie le temps de me poser des questions, un collier vient encercler mon cou et mes mains sont pris par un système m’empêchant de les lâcher.

Un temps faisant monter mon angoisse quand d’un coup je sens que ma chatte est attaquée par une chose indéfinie pour moi.
Ça rentre doucement faisant sauter mon hymen, je devais me marier vierge par obligation familiale dans nos milieux bourgeois élevés pour devenir l’élite de notre nation.
J’ai un peu mal, mais ce qui va m’arriver va faire disparaître la douleur rapidement.
Une fois bien en moi, ce que je vais appeler cette bite se met à tourner, je sens en même temps du liquide sortir et humidifier le coït que l’on me fait subir.
C’est la première fois que mon sexe est investi me je sens très nettement que ce genre de toupie qui semble grossir comme pourrait le faire une poire que l’on gonfle ou que l’on dégonfle m’apporte un premier embrasement.

Un deuxième, un troisième.
Je perds pied, j’ai mal aux genoux dans la position où je me trouve me montrant que ce que je subis dur.
Quel homme est capable de faire tourner dans le ventre d’une fille un sexe rotatif qui éjacule régulièrement ce qui peut s’apparenter à du sperme.
J’en conclus que nous avons affaire à autre chose que des êtres humains.
Mais je m’excuse je repars dans un orgasme jusqu’à tourner de l’œil.
On me libère, ma chatte fraîchement dépucelée me brûle.
Je sors voyant mes compagnes en faire autant.
Celles qui ont déjà subi ces moments que l’on peut dire être de baise, se relèvent et se dirigent vers le couloir où la navette semble prête au départ.
Aucun être d’aucune sorte ne semble avoir été derrière nous.
Sur la table du liquide la recouvre, j’en prends sur mes doigts pour le porter à mes lèvres.
Si je me sors de ce guêpier, il faudra que je boive du sperme si ça a le même goût.

- Je vous rappelle ce que je vous ai dit, ne rien révéler de ce qui vous a été fait.
Numéro 13, premier avertissement.

On a dû me voir prendre du sperme sur la table et le porter à ma bouche, une décharge traverse mon corps.
Il faut que je fasse attention car devant moi le numéro 3 est toujours marqué sur le siège mais la fille a disparu, nous étions partis à 10 au départ nous revenons à 9.

Quand je reviens, numéro 1 disparu, la case est vide de son occupante, elle est remplacée par une jeune femme qui se pose des questions de ce qu’elle fait là.
Comme me l’a dit numéro 50 l’américaine qui se joint à moi, nos chattes sont en feu et rapidement nous sommes trois à nous donner du plaisir.
Ça tombe bien pour numéro 28 elle aimait les femmes dans son pays la Hollande et ne me pose pas de question que je ne pourrais répondre.
Là encore c’est la fille d’un diamantaire d'Anvers très connu des négociants des Pays-Bas.

J’avais prévu de voir par moi-même comment est fait ce qui semble être une île.

Je veux vérifier si la navette s’enfonce bien dans la montagne.
Je me déplace dans le même angle où elle est tournée, j’emprunte la forêt sur une centaine de mètres me piquant la plante des pieds je tombe sur une muraille de granite, rien ne me montre qu’une quelconque ouverture permet à un tram de rentrer à l’intérieur.
Je sens une présence, je me retourne, rien, ce doit être le vent qui a fait crisser les branches.
Je m’enfonce vers la droite, des ombres m’entourent, je sens que l’on me saisit sans pour autant voir quelqu’un de précis.
Je sens que ma bouche est e, puis ma chatte et enfin mon anus, je suis prise par tous mes trous sans que je puisse voir qui m’agresse.
Ce qui semble être un sexe sort remplacé par un autre dans mon anus qui rapidement me fait souffrir.
J’ai en mémoire ce que m’a dit la lituanienne à mon arrivée, elles sont revenues de la forêt complètement traumatiser la peur se lisant sur leur visage.
J’attends que ça se termine ce qui arrive et je rentre à ma case sans être inquiété.

- 13.

Le soir mes trous étant rouges d’avoir été défoncé je suis désigné pour aller dans la navette.
Même consigne, il y a des nouvelles avec nous dont le numéro 28 avec qui nous nous sommes gouinés avec l’Américaine.
La navette démarre et finit par s’arrêter.

- Numéro 13 restez à votre place attendez que les autres filles soient sorties.

Ça y est je vais être dessoudée, ils savent que je suis allé dans la forêt et que j’ai subi l’attaque dans mes trous d’êtres que je n’ai pas vus mais qui m’ont fait jouir autant que la séance de tourniquet hier.
Les filles sortent une à une.

- Sortez et passez la porte en face de vous.
Installez-vous sur la table sur le dos.

Une pièce, une table, je m’allonge, je me retrouve la tête dans le vide.
J’ai le temps de voir une espèce de lance sortir d’une trappe et venir à hauteur de ma bouche.


- Ouvrez.

Je le fais, la lance entre en moi.
Ce qui doit être des lances qui sont introduites en moi dans mon anus et ma chatte.
De l’eau ayant un goût est introduite dans mon corps.
Celle dans ma bouche manquant presque de m’ mais le jet est faible et j’arrive à expulser la plus grande quantité.
On dirait que je subis une épuration de ce que ces êtres invisibles ont laissé dans mon corps.
Je suis libéré et reconduit à la navette où toutes les filles sont là.

Voilà, deux fois encore, je subis les sexes rotatifs, ma chatte étant de nouveau à la fête.
La deuxième fois, je me vois monter dans la navette et à partir de là rideau.
Pas tout à fait pourtant.

- Véronique, que fais-tu, tu rêves, dans une heure tu dois être à la mairie pour la cérémonie devant monsieur le maire pour devenir Comtesse du Hautbois.
Dépêche-toi.

J’ai dû perdre conscience et j’ai rêvé avoir des rapports avec ce qui semble être des extra-terrestres.
Les cérémonies se passent bien, mairie puis le curé, le repas se passe comme une lettre à la poste jusqu’à ma chambre où j’ai peur.
Les sexes tournants m’ayant défoncé, ma chatte doit être béante et mon mari, vieille France va me prendre pour une belle salope.
Il me dénude me couche sur mon lit de noces et me plante sa verge me faisant hurler tellement l'entrée m’a faite mal.

- Super, je vois que tu as bien une jeune vierge, je vais te faire un !

Ouf, j’ai bien rêvé, pas de case, pas de navette pas de table m’emprisonnant donnant mon vagin à des sexes tourbillonnant.
Je suis bien la jeune pucelle attendant son époux qui va me donner une très belle vie.
Il décharge et tombe à mon côté.

- Dis-moi, pourquoi t’es-tu tatoué ce numéro 13 sur ta cuisse ?

Mince, je regarde, je n’ai pas rêvé, je suis bien le numéro 13.
Ma tête mouline à cent à l’heure, aussi vite que les sexes qui ont tourné en moi.

- Quand j’étais plus jeune avec une copine nous avons décidé de nous tatouer notre numéro fétiche, moi c’est le 13.
- C’est bête mais je le saurais.

Mon mari n’a pas posé d’autres questions et m’a refait l’amour.
Alors qu’il me burine la chatte, je passe ma main sur mon clito et je récupère du sperme de sa première sailli.
Porté à mes lèvres, ça a un tout autre goût que ce que j’ai senti sur la table manquant de me faire mourir par décharge électrique.

Quelques semaines je suis enceinte, au grand plaisir de mon mari, car l'échographie montre que j’attends un garçon.
J’accouche après six mois de ce garçon qui par le poids semble à terme.
Il fait tout plus vite que les autres au plus grand plaisir de ma belle-famille et de mes parents.
À un détail, je me pose des questions, il a des yeux verts avec des pupilles fendues comme ceux des reptiles.
Le remplacement de la race humaine n’est elle pas en route commençant par les dirigeants de nos pays.
Je sais ce que je risque, j’élève mon fils sans émettre le moindre doute, peuvent-ils me faire passer du courant et me comme numéro 3.

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